« J’espère que la douleur partira » : Encore plusieurs semaines d’attelle pour Nathan Ngoy (LOSC)

Victime d’une blessure à la main en sélection, Nathan Ngoy joue, comme jeudi lors de la victoire du LOSC sur le Dinamo Zagreb (4-0), malgré quelques douleurs.

Le mois de novembre a été particulier pour Nathan Ngoy, convoqué pour la toute première fois avec la Belgique en sélection, mais dans l’incapacité de jouer, la faute à une blessure : une fracture (d’un os) de la main.

Bruno Genesio, son entraîneur au LOSC, s’était rapidement montré rassurant à son sujet à son retour en club : « Nathan s’est entraîné normalement avec nous. Il y a eu des duels et il n’a pas eu de gêne. Il a une coque. Il se sent parfaitement apte », avait-il déclaré le 21 novembre dernier. Cela s’est vérifié sur le terrain : titulaire (90 minutes disputées) et performant lors de la victoire empochée par les Dogues sur le Dinamo Zagreb (4-0) jeudi.

Encore deux semaines

Hormis sa présentation aux médias, Nathan Ngoy n’était jamais apparu en conférence de presse cette saison. C’est désormais chose faite, lancé dans le grand bain pour introduire le déplacement à venir au Havre (dimanche, 17h15). Il a d’abord donné de ses nouvelles, expliqué l’origine de sa blessure.

« J’espère que la douleur partira petit à petit »

« Je vais très bien, lâchait le Belge avec un grand sourire pour débuter. Ma main… En fait, la veille du match contre le Kazakhstan (15/11), je crois que ma main se coince dans la vareuse (il montre sa fermeture éclair) de mon coéquipier. Ma main s’est tournée, mais je ne l’ai pas sentie sur le coup. C’est qu’après l’entraînement que je m’en suis rendu compte, donc je ne sais pas vraiment ce qui s’est passé sur le moment même, confiait-il. Mais bon, là ça va mieux, j’ai joué avec un bandage et une attelle, donc ça va. »

Nathan Ngoy doit néanmoins encore gérer des douleurs : « Je crois que je dois garder l’attelle encore deux semaines si je ne me trompe pas, expliquait-il dans la foulée. J’espère que la douleur partira petit à petit », concluait-il, rappelant qu’une blessure, peu importe la zone, reste à l’origine d’une certaine souffrance.