Statut confirmé pour Ayyoub Bouaddi, Ngal’ayel Mukau porté disparu : La répartition du temps de jeu au LOSC à la trêve de novembre

Le LOSC a conclu son deuxième marathon de la saison dimanche, à Strasbourg (2-0). L’heure est au bilan lors de la trêve internationale. Le statut d’Ayyoub Bouaddi se confirme au travers de son temps de jeu.

Douze rencontres disputées en Ligue 1, quatre en Ligue Europa, le LOSC est déjà passé par toutes les émotions en enregistrant 8 victoires, 2 nuls et 6 passes décisives toutes compétitions confondues. La dynamique actuelle est plus négative. Elle a heureusement été stoppée par la trêve internationale du mois de novembre, qui permettra à tous de retrouver de la fraîcheur. Cette période vouée aux sélections, la dernière de l’année, est une nouvelle occasion de faire un point sur la répartition du temps de jeu au sein de l’effectif de Bruno Genesio.

LOSC : La répartition du temps de jeu

Un mois plus tôt, parmi les joueurs de champ, ce sont Hakon Haraldsson et Nathan Ngoy qui menaient la danse, juste devant un certain Ayyoub Bouaddi. Ce dernier a renversé la vapeur. Il enchaîne match après match et est tout simplement le joueur le plus utilisé (1124 minutes) par Bruno Genesio et son staff, juste derrière Berke Özer (évidemment). C’est une preuve de plus que son statut à évoluer au sein du groupe. Le milieu de terrain se place juste devant Matias Fernandez-Pardo (1122 minutes) et Félix Correia (1113 minutes). Ce package ne peut qu’être satisfait de son temps de jeu, au contraire d’autres individualités moins visibles en cette première partie de saison.

Pourtant détenteur du statut de joueur le plus utilisé lors de la phase de préparation, Ngal’ayel Mukau est porté disparu. Il a presque joué autant lors des matchs amicaux (376 minutes) qu’en rencontres officielles cette saison (543 minutes). Là est sans aucun doute le signe d’un déclassement au sein de la hiérarchie des milieux de terrain lillois. L’autre potentielle surprise, voire déception, se nomme Osame Sahraoui. Lancé dans sa deuxième année à Lille, il ne parvient pas à prendre de l’épaisseur et a dû, jusqu’à maintenant, se contenter de 421 petites minutes.