Publié le 13 janvier 2024 à 16:40

De passage en conférence de presse avant que le LOSC ne reçoive le FC Lorient, Lucas Chevalier a insisté sur l’importance d’engranger des résultats face à des équipes censées être plus faibles sur le papier.
Outre Paulo Fonseca, qui avait déjà fait une apparition devant les médias avant les 32èmes de finale de Coupe de France, Lucas Chevalier a été le premier joueur de l’année à se présenter en conférence de presse. Invité à évoquer le contraste des résultats empochés face aux gros puis face aux plus petits du championnat, le portier lillois a avoué apprécier la régularité trouvée. Il sait néanmoins que tout n’est pas parfait et que ce sont ce genre de matchs, contre des équipes mal classées comme l’est le FC Lorient, qu’il faut engranger le maximum de points pour viser très haut au classement général : « Je pense que contre les grosses équipes, celles du haut de tableau, on est performant et on répond présent. Cette année, on est peut-être un peu plus régulier que la saison dernière face à ces équipes du bas de tableau. Je pense que ce sont ces matchs qui feront, qu’à la fin, on sera là où on voudra être. Il faut qu’on essaie d’aborder les matchs – que ce soit Lorient, Paris ou Lens – de la même manière. Si on arrive à régularisé nos performances contre ce genre d’équipes, on sera forcément là-haut. »
Une régularité trouvée, le LOSC de Paulo Fonseca version 2.0 se montre également plus fin, capable de faire basculer une rencontre dans ses dernières minutes. Une caractéristique qui fuyait les Dogues la saison passée, au contraire de cette année. Une preuve de caractère aux yeux de Lucas Chevalier : « On peut le voir d’une saison à l’autre, une équipe peut être très forte sur coup de pied arrêté, et la suivante elle sera faible pour des raisons inconnues. Par contre cela prouve qu’on ne lâche pas, qu’on arrive à aller chercher des résultats. Quand on joue le LOSC, les équipes savent qu’il faut défendre jusqu’à la dernière minute. Nous, ça nous laisse aussi beaucoup d’espoirs. Une fois qu’on le fait une, deux, trois fois, on se dit qu’on peut le faire quatre, cinq, six fois. Ça montre qu’on est difficile à jouer », confie-t-il ainsi aux médias présents face à lui.
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