Publié le 14 décembre 2025 à 20:04

Crédit Photo : Le Petit Lillois / Quentin Delcourt
Au micro de Ligue 1+, Olivier Létang a donné son ressenti sur la dernière rencontre de Ligue 1 de son équipe pour l’année 2025. Un match fou, qu’il a beaucoup apprécié.
Je pense que ce type de rencontre, c’est pour ça qu’on hait le foot et qu’on aime le foot ou le sport parce qu’on passe par tous les sentiments avec le fait de repasser devant a débuté le Président du LOSC. Quand on marque, il y a beaucoup d’émotions mais il faut rester concentré pendant 5 minutes, on ne peut pas prendre ce troisième but, donc beaucoup d’émotions. Je pense que c’est aussi la victoire d’un groupe qui a des valeurs incroyables et c’est une victoire au mental avec ceux qui sont rentrés. On le dit depuis le début de la saison, le coach le dit depuis le début de la saison : on ne fait pas une saison à 11 joueurs, on ne fait pas une saison à 13 joueurs. Effectivement ce sont des valeurs qui sont très importantes et qu’on a dites dès le premier jour mais qu’on répète en permanence parce que c’est normal que certains puissent avoir des états d’âme mais aujourd’hui encore une fois on est allés chercher cette victoire avec des vents contraires, dans un contexte difficile, en enchaînant tous les trois jours aussi, donc ça tire beaucoup. On aimerait que les joueurs donnent plus mais parfois c’est dur, donc c’est important qu’on ait tout un groupe et c’est une victoire qui est très importante et qui fait beaucoup de bien. »
Aperçu au bord de la pelouse vers la 42e minute de jeu, Olivier Létang a été questionné sur ses intentions à ce moment là, alors que Nathan Ngoy venait d’obtenir un carton rouge : « J’ai juste demandé à l’arbitre à la mi-temps en étant calme et tranquille, parce que je pense qu’il y a carton rouge sur Nathan Ngoy mais par contre il y a une action sur Romain Perraud où il y a une semelle au niveau de la cheville et c’est vrai qu’on en a parlé avec le responsable arbitrage. Je ne comprends plus l’homogénéité, c’est quand même une grosse faute mais je l’ai demandé très calmement, il m’a répondu et le débat a été clos. »






