L’Algérie de Mandi et Bentaleb (LOSC) brise les rêves de l’Ouganda

D’ores et déjà qualifiée pour le Mondial 2026, l’Algérie a tout de même renversé l’Ouganda (2-1) ce mardi, nation pour laquelle une victoire était synonyme de barrages et donc d’espoirs de qualification pour la Coupe du monde.

Douze ans après sa dernière participation, l’Algérie obtenait sa qualification pour la Coupe du monde 2026 jeudi dernier, en venant aisément à bout de la Somalie. Ses hommes n’avaient donc plus rien à jouer ce mardi, lors de la réception de l’Ouganda dans l’enceinte de l’Hocine Aït Ahmed Stadium de Tizi Ouzou. Cette rencontre a été un second succès (1-2) pour les Fennecs en ce mois d’octobre, une immense désillusion pour leurs adversaires. Ces derniers avaient besoin d’une victoire pour se hisser en barrages, qui offriront un dernier ticket qualificatif pour le Mondial. La défaite est synonyme d’élimination et de rêve brisé.

Joueur le plus capé de la sélection algérienne, Aïssa Mandi (90 minutes) a une nouvelle fois été titularisé par Valdimir Petkovic pour ce rendez-vous. Nabil Bentaleb (8 minutes) s’est quant à lui contenté d’une entrée en jeu en fin de match.

Victoire poussive

En difficulté devant son public, l’Algérie a été menée pendant de nombreuses minutes, presque l’intégralité de la rencontre. Stephen Mukwala gâchait la première de Luca Zidane dans les cages avec une ouverture du score précoce (6′) suite à un ballon perdu par Hicham Boudaoui. Mais, alors qu’ils étaient empêtrés dans un match piège par excellence, Ramy Bensebaïni offrait la balle d’égalisation aux Fennecs en obtenant un penalty. Mohammed Amoura transformait l’essai (81′), puis répétait la chose dans le temps additionnel (90+9′) pour renverser définitivement l’Ouganda (1-2).

Cet ultime penalty a été concédé sur une sortie totalement ratée du portier ougandais sur Amine Gouiri. Les deux joueurs ont quitté la pelouse sur civière. Omar Jamal Salim Magoola était victime de convulsions, quand le Marseillais est sorti pour le protocole commotion. Il semblait surtout touché au bras.