« Si Jonathan David se blesse, il va falloir poser un cierge » lance Ludovic Obraniak après LOSC – MHSC

Consultant, tant pour Prime Vidéo que pour la chaîne L’Equipe, Ludovic Obraniak n’est jamais très loin du LOSC et, c’est pour ces deux entités, qu’il est revenu sur cette opposition entre le LOSC et Montpellier (1-0).

Si les Dogues se sont imposés face à Montpellier, dans le cadre de la 4ème journée de Ligue 1 Uber Eats, ils n’ont pas rassuré. C’est en tout cas l’analyse réalisée par Ludovic Obraniak, pesant le bon et le mauvais : « La philosophie donnée par leur entraîneur leur donne quand même une certaine sécurité. On sent vraiment des schémas offensifs qui leur donnent beaucoup de calme et de maîtrise. La première mi-temps a été meilleure. Ensuite, Montpellier a sorti sa tête de sa carapace, notamment en fin de match où ils ont failli revenir », a-t-il d’abord lancé sur Prime Vidéo, avant de poursuivre sur le plateau de L’Equipe du Soir : « Ce n’est pas vraiment rassurant, mais ils ont fait le job. Ils sont dans une période un peu de tourment avec les mots de Paulo Fonseca sur le recrutement. Je trouve qu’il y a eu une réaction. C’était un match assez moyen pour les deux équipes, mais au moins, le LOSC se remet sur de bons rails. »

Une analyse qu’a tenté de conclure Timothée Maymon par une simple tirade : « Il n’y a pas de marge en ce moment à Lille… », mais sur Prime Vidéo, Ludovic Obraniak a peut-être trouvé ce qui pourrait offrir une marge supplémentaire aux Dogues, un attaquant : « Aujourd’hui, dans le football moderne, vous avez beau dire ce que vous voulez, c’est la profondeur d’un effectif qui en fait sa richesse. Je trouve qu’ils s’en sortent bien, parce que sans (Jonathan) David, ce n’est pas la même chose. Ils ont vraiment besoin d’un attaquant. Il va falloir qu’Olivier Létang se penche sur l’idée de prendre un joueur libre, ou un joker, parce que si Jo (David) est amené à se blesser ou à être absent, il va falloir poser un cierge », a joliment terminé le Polonais, dont l’actualité lilloise attise plus que jamais l’intérêt.