Publié le 12 juillet 2024 à 13:36

Ambitieux à leur entrée en lice, les États-Unis ont vite déjanté lors de l’édition 2024 de la Copa América. Pour braver les futurs dangers qui se présenteront devant Weah & Co, la cible se nomme désormais Jürgen Klopp.
Certaines entités n’ont pas froid aux yeux et se laissent enivrer par leurs ambitions parfois démesurées. Douchés dans leur propre pays suite à une défaite face à l’Uruguay de Marcelo Bielsa, les États-Unis sont sortis par la petite porte de la Copa América 2024, éliminés dès la phase de poules. Une véritable déception pour le pays hôte, qui a licencié Gregg Berhalter de son poste dans la foulée. Désormais, à l’approche du Mondial 2026 qui se déroulera sur ses terres ainsi qu’au Canada et au Mexique, la Fédération américaine (USSF) voit grand, peut-être trop grand même. D’après les révélations du New York Times, elle tente d’attirer Jürgen Klopp dans ses filets. L’Allemand a néanmoins refusé ses premières approches jusqu’ici, désireux de mettre sa carrière entre parenthèses. Ces refus ne suffisent pas pour démoraliser les troupes. D’ici 2026, l’USSF estime avoir le temps de convaincre l’ancien technicien de Liverpool.
Toujours aux États-Unis, la Copa América bat encore son plein. Loin des préoccupations de Timothy Weah qui devrait sans aucun doute l’arrivée de Jürgen Klopp, arrivée utopique pour le moment, Jonathan David et le Canada s’apprêtent à retrouver Marcelo Bielsa et l’Uruguay lors de la petite finale de la compétition. Le vainqueur sera troisième de cette compétition. Ce format n’existe plus à l’Euro depuis les années 80 et l’équipe de France, de son côté, s’est contentée du simple qualificatif de demi-finaliste.
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