Publié le 3 janvier 2024 à 19:17

Rubrique destinée à devenir une habitude avant chaque rencontre à domicile, voici trois raisons qui devraient pousser les plus indécis d’entre vous à se rendre jusqu’aux travées de l’enceinte lilloise ce samedi.
De la trêve hivernale aux joutes nationales, c’est sa propre pelouse de la Decathlon Arena – Stade Pierre Mauroy que retrouve le LOSC à l’occasion des 32èmes de finale de Coupe de France. Se rendre dans un stade, c’est l’occasion de découvrir une atmosphère unique, entre l’excitation palpable de la foule, les chants des supporters, les sifflets, les cris de désarroi, mais aussi les explosions de joie, l’occasion de mettre vos émotions en mode « ébullition ». Cette partie, programmée ce samedi à 15h30 et dirigée par Thomas Léonard, peut ainsi être l’occasion de franchir le pas. Voici, ci-dessous, trois raisons de ne pas manquer ce premier rendez-vous de l’année 2024.
Briser la torpeur de l’hiver
Des cadeaux de décembre aux dernières giboulées du mois de mars, l’hiver s’étend aux quatre coins de l’Hexagone, enveloppant de sa couche morose chacun de ses habitants. Les journées raccourcissent et plongent le monde dans un crépuscule précoce où la lumière du jour se retire timidement derrière les intempéries pluvieuses et venteuses. La torpeur de l’hiver s’installe lentement et les gens s’emmitouflent dans d’épaisses couches de vêtements. L’hiver offre néanmoins tout autant, devenant une opportunité de ralentir, de réfléchir et d’apprécier la simplicité du moment présent. La nature se repose, se régénère, se préparant silencieusement à l’éclosion vibrante du printemps. Un réveil légèrement anticipé par les Dogues qui s’apprêtent à reprendre le chemin de la compétition après une semaine de bon temps. La fin de la trêve hivernale signe aussi le retour des supporters, brisant ainsi la torpeur de l’hiver. Se rendre dans l’enceinte lilloise et chanter à l’unisson raviveront en vous la flamme de la passion, vous permettant ainsi de reprendre des couleurs et de quitter la pureté du blanc pour la chaleur d’un rouge pétillant.
Retrouver son poids de forme
Ah, les fêtes de fin d’année, ce moment magique où la balance devient après coup une ennemie jurée, et où l’idée de retrouver son poids de forme ressemble à une quête digne d’un héros affrontant un dragon. Après avoir festoyé avec autant d’enthousiasme qu’un écureuil devant un tas de noisettes, il est temps de faire face à la réalité : la remise en forme post-fêtes. Une étape qu’ont déjà été contraints de surpasser les Dogues, de retour au Domaine de Luchin depuis le 29 décembre dernier. C’est ainsi à votre tour, supporter lillois, de les imiter. Alors imaginez ceci : un stade de football vibrant d’énergie, rempli de passionnés, et vous parmi eux, chantant à pleins poumons. Chaque note fait fondre les calories comme neige au soleil. Les kilos superflus s’évaporent à chaque montée en puissance de votre voix. Se déplacer au stade, un moyen « scientifique » donc d’allier l’utile à l’agréable, la passion est votre alliée.
Renouer avec une compétition emblématique
La Coupe de France est un bien précieux du football français. Elle est une célébration du football sous toutes ses formes, mettant en exergue la passion et les émotions. Ouverte à tous les clubs de France, amateurs comme professionnels et quelque soit leur niveau, cette compétition est la plus ancienne du football en France avec une première édition organisée en 1917. Elle est ainsi un mélange de tradition et d’histoire, et possède un héritage précieux. Au cours du temps et à travers les époques, le LOSC s’est glorieusement mêlé à son histoire, soulevant à six (1946, 1947, 1948, 1953, 1955 et 2011) reprises cette coupe emblématique. Depuis leur dernier sacre, cela fait plus de dix ans, c’est ainsi fort logiquement que l’objectif est le suivant : remporter un nouveau trophée. Il est donc le moment de se déplacer en nombre pour participer à cette fête, et ce, même si l’ogre n’est autre que les Dogues quand le Petit Poucet martiniquais s’est lancé dans un périple qu’il sera difficile d’oublier. Vous sentez cet air enivrant ? C’est ce que l’on appelle la passion.
Nos partenaires


Nos partenaires




