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Lucas Chevalier : « Vito Mannone est aussi là pour me pousser »

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Crédit Photo : Daniel Derajinski/Icon Sport

A l’issue de la dernière période de transferts, Vito Mannone a débarqué à Lille en provenance du FC Lorient. Une nouvelle cohabitation qu’a récemment évoquée Lucas Chevalier en conférence de presse.

La saison dernière, alors qu’il venait d’être lancé dans le grand bain, Lucas Chevalier (21 ans) a été épaulé pendant six mois par Benoît Costil (36 ans), dont l’expérience a permis d’encadrer la progression du jeune portier. Néanmoins, le gardien expérimenté a quitté les Dogues au cours de l’été et il a fallu attendre de longues semaines avant que son remplaçant ne pose ses valises à Lille. Ce dernier se nomme Vito Mannone (35 ans), débarqué en provenance du FC Lorient pour une somme de 200 000€. Quelques semaines après son arrivée, c’est logiquement que Lucas Chevalier a été interrogé sur son sujet et leur cohabitation : « C’était important pour le club, mais aussi pour moi, de trouver le bon profil, similaire à celui de Benoît (Costil), avec qui j’entretenais de bonnes relations. Je pense qu’il fallait continuer sur ce genre de choses. Vito (Mannone) est arrivé de manière très ouverte, très professionnelle. On discute de beaucoup de choses, même parfois en dehors du football. Je le sens impliqué dans le projet, très bosseur, très travailleur. Je suis content qu’il soit là. C’est une bonne personne et il sera aussi là pour me pousser », déclarait-il en conférence de presse, quelques heures avant de se déplacer sur la pelouse du Stade Rennais (2-2).

Un discours et notamment de derniers mots qui rentrent en symbiose avec les propos tenus par le portier italien lors de sa présentation officielle. Vito Mannone n’est pas là pour faire de la figuration. Si l’un de ses rôles est d’épauler la jeunesse lilloise, un autre est aussi de saisir la moindre opportunité si elle se présente : « Le travail, c’est le quotidien. Dans ma carrière, j’ai toujours tout donné à 100%, je ne lâche jamais rien sur le terrain et il faut toujours se préparer pour jouer. C’est la même chose que si l’on était premier gardien. […] Dans ma tête, il n’y a pas de numéros, je travaille chaque jour pour aider l’équipe et mes coéquipiers. […] C’est une compétition, dans ma tête ça l’est toujours. Il ne faut pas oublier que je suis un compétiteur sur le terrain. […] Ici, ce n’est pas comme à Lorient. La première chose est que j’arrive dans un club avec de l’ambition, un Top 5, où la mentalité est d’avoir deux gardiens qui peuvent être capables de jouer à tout moment. C’est pour ça que je suis ici », confiait-il.

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